A l’approche d’un été qui arrivera peut-être un jour par surprise, on ne sait plus à quel saint se vouer pour éliminer les auréoles qui pourraient se tracer sous nos aisselles. Parmi la diversité des produits proposés afin de lutter efficacement contre ce fléau corporel, le choix devient extrêmement difficile. Comment ne pas demeurer pantois devant le gigantisme du rayon « déos/anti-transpirants » d’un supermarché ? On notera que le quartier féminin surpasse toujours le coin homme en terme d’offre. Lorsqu’on a enfin choisi sa marque, le type d’application (spray, à bille ou stick), de nombreuses déclinaisons demeurent pour chaque modèle : peau sensible, sans aluminium, à l’aloe vera, à la pierre d’alun, compressé, sans alcool, anti-tâches, naturel…
Une auréole sous l’aisselle, ça craint, mais quand même bien moins qu’une bonne odeur de vestiaire de foot (en fin de match) qui envahit une pièce ou évoluent plusieurs personnes. Pour l’auréole, j’ai un truc tout bête : porter des vêtements d’une couleur qui ne s’assombrit pas trop au contact de l’humidité. Eviter impérativement le gris clair ou la couleur brique qui ne manqueraient pas de vous humilier publiquement au moindre effort sous une chaleur trop élevée. En ce qui concerne l’odeur, j’ai opté pour le stick qui s’accroche plus longtemps au poil que le spray ou le liquide à bille. Mais cet avis purement masculin ne convient pas forcément aux femmes qui s’épilent. Sinon, il existe un moyen facile de diminuer considérablement l’effet secondaire indésirable : garder les bras en l’air afin d’assurer une bonne aération de la zone sensible.
Cet article vous a semblé utile, sans intérêt, idiot, même pas drôle ? N’hésitez pas à nous faire part de votre expérience personnelle.